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Série TV – Vidéos – Game of Thrones – Nouvelle bande annonce

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La sortie de la série approche à grands pas, et les images et vidéos se multiplient, cette fois, je vous propose la nouvelle bande annonce du Trône de Fer la série, issue du célèbre univers de G.R.R. Martin.

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TV – JDR – Une partie de jeu de rôle sur NoLife

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Après l’article sur la chanson « Sauvons les Rôlistes« , je vous propose de visionner dimanche 12 septembre 2010 sur la chaine NoLife à 22h30, une partie de Jeu de rôle, et oui, les rôlistes prennent un peu de temps à l’antenne pour faire découvrir le jeu de rôle. La tâche fût proposée à jdr-magazine, et ils vont jouer un scénario de leur N°1 du fameux magazine jdr-mag.

Je cite :

Dimanche 12 septembre à 22h30, le monde entier va enfin savoir ce que c’est que le jeu de rôle ! Une partie de jeu de rôle va être diffusée à la télé, sur la petite chaîne NoLife, la chaîne des geeks, des vrais.

Tout commence avec un réalisateur, Barthélémy Brossel, ancien rôliste, qui souhaite réaliser un reportage approfondi sur le jeu de rôle, un peu dans le style du reportage sur un sujet connexe Suck my geek, qui a fait date. Mais les producteurs avec qui il travaille habituellement ne comprennent pas ce que c’est que le jeu de rôle. Alors il contacte Jeu de Rôle magazine et demande à son rédac’ chef, Guillaume Besançon, d’organiser une partie pour qu’il la filme, afin de montrer de visu aux producteurs de quoi il s’agit.

Barthélémy réunit des techniciens, Guillaume réunit des joueurs et prépare un scénario* dans un style court et intense pour coller au format ‘vidéo’. On trouve un lieu : la cave de la boutique Playfactory**. Les uns jouent et les autres filment, et Barthélémy part monter ce qu’on appelle un « ours » de la première partie, c’est-à-dire un premier montage où il ne s’agit que de choisir quel caméra est retenue sur quelle scène. Il montre ça à un ami producteur, Arnaud, qui lui dit :

Arnaud : « C’est vachement bien, c’est une bonne idée, ça, faut le diffuser »

Barthélémny : « Comment, ça, ‘ça’ »

Arnaud : « Ca, ton film »

Barthélémy appelle Guillaume et lui dit « Viens voir ». On réunit quelques amis et frères et sœurs et on visionne un après-midi le film. En effet que ça se laisse regarder, tout le monde trouve ça très bien et a envie de savoir comment ça se termine. Ainsi ce petit film commence a prendre son indépendance du reportage pour lequel il était prévu. L’équipe s’étoffe alors de monteurs, graphistes… Barthélémy reprend sa caméra et rajoute une petite touche de télé-réalité. On montre ça aux gars de la chaîne NoLife qu’on avait croisé sur un salon, qui trouvent la chose « osée et expérimentale » et donc, comme c’est les gars de NoLife, ils aiment bien.

Vous pourrez voir la première partie le dimanche 12 sept à 22h30 sur NoLife, et si vous le demandez gentiment sur leur forum, on finira le montage de la deuxième-partie-suite-et-fin pour vous la passer.

Source

Soyez devant votre TV dimanche 😉

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Série TV – Critique – 24H Chronos

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Me revoici avec une nouvelle critique publiée sur le site de ChaOdisiaque par Lynx, je vous fais donc passer la critique de la série TV 24 heures Chrono.

Lynx a dit :

Je me suis rendu compte en parcourant ce forum qu’il n’y avait pas de critiques de faites sur cette série, donc je vais tenter de réparer ça, en espérant faire quelque chose de pas trop mal (c’est ma première sur ChaOdisiaque si je ne m’abuse !).

Alors, 24h Chrono c’est quoi ?

La série relate en temps réel les journées d’agents luttant contre diverses attaques terroristes aux États-Unis. Le personnage principal, Jack Bauer est chargé de poursuivre les terroristes et de remonter les réseaux souvent aidés par des taupes au sein des services spéciaux ou de l’administration.

Sur cette base plus ou moins classique viennent se greffer un certain nombres d’éléments plutôt intéressant, que nous allons aborder ci-dessous et qui feront de 24 une série totalement unique.

Déjà, la gestion du temps. En effet, les épisodes se déroulent en temps réels, sans retour arrière ni ellipse. Cela donne un cachet certain à la série et un rythme très soutenu, voir haletant. L’intérêt est que le spectateur peut suivre les différentes intrigues simultanément et toute la série (comme son nom l’indique) est basé sur ça.
Cette gestion particulière du temps est illustré par la fameuse horloge qui apparaît régulièrement au cours des épisodes et qui renforcent indéniablement la tension.

Ensuite, des intrigues très complexes. Il y a un travail scénaristique excellent de fait sur la série et le gros plus est le fait que plusieurs intrigues simultanées sont mêlés au cours de chaque saison. On évite ainsi le coté « Le monde s’arrête de tourner parce qu’il y a déjà un problème majeur ».
Ce qui fait que parallèlement à une attaque terroriste sur les états-unis, on pourra observer des conflits familiaux, politiques, des trahisons, de l’insubordination, etc. Tout ça rend la série très dynamique et peut-être un brin plus réaliste que la concurrence.

Pour finir, un thème difficile, mais bien utilisé, à savoir : « Jusqu’où peut-on aller pour sauver le monde ? » De ce fait, la série comporte de nombreuses scènes de tortures et les présidents sont parfois confrontés à des choix très durs, qui sont de vrais dilemmes moraux.
Si la série peut paraître de fait assez violente, on se rend compte qu’il y a derrière ça une sorte de message politique, puisque, dans le cas de la torture, elle est toujours utilisé de telle façon que c’est grâce à elle que l’enquête avance.

Juste une petite note sur les acteurs et notamment Kiefer Sutherland, l’interprète de Jack Bauer, pour dire qu’ils font un boulot tout à fait honorable, ce qu’il faut tout de même saluer.

Et les points négatifs ?

Je pense que c’est vraiment une question de goût. Soit on accroche, soit on accroche pas. Non 24 n’est pas forcément très réaliste, mais c’est un choix auquel j’adhère personnellement. Les intrigues, le dynamisme et l’originalité de la série ainsi que le jeu d’acteur contrebalancent ça, mais pour beaucoup ce manque de réalisme n’est pas pardonnable.

Mais en même temps, serait-il intéressant de regarder une série où les dix premiers épisodes sont consacrés à la remise en forme du héros après une période d’inactivité ?

Mon avis ?

24h Chrono est une série haletante, dynamique, avec un scénario complexe et travaillé. Je n’aborde même pas le jeu d’acteur qui est vraiment très bon. La tension est palpable du début à la fin d’une saison et c’est ce qui fait la force de la série. Je recommande !

24h Chrono
18/20

Une grande originalité, beaucoup de dynamismes mais aussi des intrigues nombreuses et très biens fichues !

Source

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Inspiration JDR – Oz ou le milieu carcéral – retour sur notes

oz
Je vous avais fait la critique de la célèbre série Oz (voir quelques articles avant). Maintenant, je vais revenir sur un début d’idée que j’avais réalisé pour lier la série au JDR. (cf. ici)

Regarder des séries c’est une chose surtout si elles sont de bonne qualité, mais en faire des inspirations JDR c’est tout simplement faire d’une pierre deux coups.

Oz la série

Je vais dans un premier temps essayer de vous plonger dans l’ambiance d’un milieu carcéral très spécial. En faites, les possibilités de jeu de rôle sont énormes : violence, intrigues, survie, courage, amour, haine, stratégies, clans, amis, ennemis, etc… Autant dire, tous les ingrédients disponible pour un bon JDR.

Les rôles

Tout d’abord, il va falloir déterminer quel genre de rôle peut avoir le joueur, car il y a bien des façons de jouer dans une prison.

1/ Maton : oui, c’est l’un des rôles principaux. Les matons, des hommes et femmes, qui sont censés faire respecter l’ordre. Mais il est parfois possible de tomber dans le piège de la violence et certaines actions sont parfois pires que celles des pires détenus de la prison. Donc, vous l’aurez compris jouer un maton c’est la possibilité d’incarner un PJ droit et sans faille, ou un PJ profitant de sa situation et d’utiliser son pouvoir pour manigancer et participer aux excès sournois des taulards.

2/ Détenu : le rôle le plus courant. Dans tous les cas, vous aurez commis un crime et même si vous êtes innocent, jusqu’à preuve du contraire vous êtes un criminel. Il va donc falloir faire avec et autant le dire de suite, cela ne va pas être de tout repos. Vous pouvez avoir des ennemis aussi bien du côté des matons, que du côté des autres détenus. Le but : survivre, coûte que coûte. Créer des alliances et éviter les pièges, voilà le but ultime.

3/ Les intervenants : prêtres, psy, reporters, visiteurs etc… autant d’intervenants sont susceptibles de représenter joueurs ou PNJ.

Les clans

Il existe à Oz, de multiples clans et groupuscules. Y appartenir peut être aussi bien une histoire de couleur, qu’une manière de penser. Voici un résumé des clans les plus présents et de leur caractéristiques :

1/ Les Gangsters Afro-américains
Ils contrôlent une grande partie du commerce de stupéfiants. L’un des groupes qui contient le plus d’adeptes.
Force : le nombre, relations aussi bien internes qu’externes et des chefs convaincants.
Faiblesse : appât du gain, instables.
Conditions d’acceptations : être black et rentrer dans les affaires.
Langue : Anglais

2/ Les Italiens
Eux aussi contrôlent une grande partie du commerce de drogue. Leur groupe est soudé et guidé dans un système type mafieux.
Force : l’intimidation, l’honneur, la fraternité et leur hiérarchie.
Faiblesse : nombre restreint, superstitieux et leur réputation, ainsi que leur manière d’agir qui met de suite la puce à l’oreille.
Conditions d’acceptations : faire partie de la famille.
Langue : Anglais, Italien.

3/ Les latinos
Le troisième et dernier groupe qui contrôle la came dans le pénitencier. Groupe baigné dans la violence, la fierté et les lois de la rue.
Force : nombreux, structuré, sang-froid et intimidation.
Faiblesse : fierté, susceptibilité, souvent prévisible.
Conditions d’acceptations : Être latinos, souvent effectuer une mission délicate (drogue ou meurtre).
Langue : Anglais, Espagnol

4/ Les Musulmans
Un groupe important dans Oz qui a une place particulière. En effet, les Musulmans sont contre toutes sortes de violences et de commerces illicites. Chose dur à maintenir à Oz. Guidés par un leader, les Musulmans sont des loyaux sujets et avec une foi quasi inébranlable.
Force : La Foi, le charisme, la persuasion et la force mentale.
Faiblesse : leurs engagements et ce en quoi ils croient dans un milieu ou le vice est omniprésent.
Conditions d’acceptations : prouver sa foi en dieu, être noir est un plus.
Langue : Anglais, (Base d’Arabe)

5/ Les Aryens
Ces blancs qui suivent les préceptes de la fratrie Aryenne issue des Nazis. La violence et l’intimidation est leur quotidien.
Force : la fraternité, l’intimidation, la soif de sang, la stratégie et les relations (même chez les matons et au-delà).
Faiblesse : le nombre d’ennemis, le vice.
Conditions d’acceptations : Être blanc, prouver sa valeur auprès de la fratrie (souvent par un meurtre utile).
Langue : Anglais

6/ Les Bickers
Des gros bras qui ont vite sympathisé avec les Aryens.
Force : la force de frappe, l’alliance avec les Aryens.
Faiblesse : leur faible nombre.
Conditions d’acceptations : Être un bickers avant d’arriver à Oz.
Langue : Anglais

7/ Les Irlandais
Peu nombreux, les Irlandais sont réputés pour leur coups tordus et leurs principes révolutionnaires.
Force : Stratégie, persuasion, baratin.
Faiblesse : leur très faible nombre.
Condition d’acceptation : Être un Irlandais.
Langue : Anglais

7/ Les autre
Beaucoup de détenus ne font pas spécialement parti d’un groupe, du moins, leur groupe est minime. Il faut soit être très discret, sois trouver les bons alliés.
Force : Discrétion.
Faiblesse : fragile.
Condition d’acceptation : –.
Langue : Anglais , –.
On peut y retrouver : les homosexuels, les anciens, les chrétiens, les fous etc…

Prémisse d’aide de jeu :
AMBIANCE ET CONDITIONS DE SURVIE

Oz 2

Détenus :

Vous êtes un détenu à Oz, la prison n’est pas bien grande, vous aurez vite fait d’être accosté et selon vos origines et vos actes passés, les contacts peuvent être bons ou (très) mauvais. Dans un premier temps, analyser la situation et tirez profit de chaque élément. Et surtout ne jamais se retrouver seul.

Conséquences : le jeu de rôle dans cet univers va tourner autours des personnages et le MJ va devoir faire des scénarios en rapport à la création des personnages. Autres solutions, jouer des archétypes proposés par le MJ afin que ce dernier puisse faire jouer sa campagne durement travaillée. Ou bien, le MJ impose des restrictions à la création de personnage : race, antécédents, liens etc…

Peut on parler de quêtes dans cet univers ?
Bien entendu ! C’est simple, au début la plupart des personnages débuterons sans rien, à moins d’autoriser de jouer un baron ou un caïd. Mais dans la majorité des cas, pour obtenir quelque chose, il va falloir rendre des services ou faire ses preuves, des actions largement assimilable à des quêtes.

Exemple :
Vous êtes Vic Norson, un jeune étudiant blanc étant à Oz pour un homicide involontaire et pour vente de drogue, autant dire que vous allez rester derrière les barreaux pour un bout de temps. Votre drogue a tué un jeune afro-américain par overdose. Or, pas de chance, un des cousins de la victime est à Oz et veut votre peau, malheureusement, vous n’avez pas beaucoup de contacts et êtes un piètre boxeur. Solution, trouver une protection. Vous avez bien pensé aux Aryens, mais parait il, qu’ils sont contre les drogues et qu’ils peuvent vous considérer comme leur « pute » en échange de protection. Les Italiens ? Les Bickers ? Les Latinos ? Vous arrivez tout juste à convaincre les Bickers et ce grâce à de l’argent qu’il vous reste, mais à ce prix là vous n’allez pas tenir bien longtemps, il va vite falloir trouver une autre solution… Vous savez que les Italiens ont un différent avec les Afro-Américains, vous allez peut être devoir tuer pour eux… Reste à trouver le courage ou la manière de faire…

Cette exemple, pour démontrer qu’il y a de multiples possibilités et que l’ambiance peut vite être stressante… A tester…

Voilà, c’est un début, n’hésitez pas à venir fignoler ou apporter vos commentaires, bon jeu :)

Émission TV – France 2 – Jusqu’où va la télé ?

france2
Je ne sais pas si vous aviez entendu parler de cette émission qui avait fait son buzz, une vrai fausse télé-réalité où un candidat électrocutait un autre candidat pour chaque mauvaise réponse. Mercredi prochain France 2 propose 2 reportages à partir de 20H35 sur ce sujet.

Résumé France 2 :

JUSQU’OÙ VA LA TÉLÉ ?

Un documentaire en deux parties de Christophe Nick
Une production Yami 2 avec la participation de France Télévisions pôle France 2

RÉSUMÉS

LE JEU DE LA MORT
Et si la mort en direct devenait un divertissement ? Les dérives de la téléréalité sont graves. Violences, tortures, humiliations dominent les programmes dans le monde entier. La télévision détient-elle un pouvoir spécial ? Dans les années 60, une expérience psychosociale prouvait que 62 % des individus administraient des chocs électriques extrêmes en obéissant aux ordres d’un scientifi que. L’équipe de Christophe Nick a transposé cette expérience à l’univers des jeux télé. 80 Français, un jeu aux règles abjectes.
Vont-ils se soumettre aux ordres de Tania Young qui exige qu’ils infligent des chocs électriques à un inconnu. Qui va se soumettre ? Combien oseront désobéir ? Une expérience extrême et une réflexion profonde sur le rôle de la télé aujourd’hui.

LE TEMPS DE CERVEAU DISPONIBLE
Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations…, la téléréalité devient folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l’histoire de l’audiovisuel. 50 ans d’archives retracent l’évolution du divertissement : comment la mise en scène de l’intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. A l’aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce réquisitoire démontre comment l’émotion a fait place à l’exacerbation des pulsions les plus destructrices.

Série – Oz

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Voici une petite critique personnelle au sujet de cette série qui ne ressemble à aucune autre.

Critique – Oz Saison 1 et 2

Oz. Oswald. Pénitencier de haute sécurité.
Série créée par Tom Fontana en 1997 et arrêtée en 2003

Tout d’abord le synopsis :

Emerald city est un quartier expérimental de la prison créé par le visionnaire Tim McManus qui souhaite améliorer les conditions de vie des détenus et de les ramener sur le bon chemin.

Mais dans cet univers clos et étouffant se recrée une société terrifiante où dominent la haine, la violence, la peur, la mort. Où tout espoir est vain, où la rédemption est impossible.

J’ai découvert Oz, grâce à un membre de ChaOdisiaque : Luhkah (cf ici).

J’ai donc regardé la saison 1 puis la 2, d’ailleurs les 2 seules saisons où l’on peut trouver une VF, les 4 suivantes ne sont disponible qu’en VOST.

Cette série est incomparable à d’autres séries, l’univers est très particulier. Nous avons tous déjà vu des films ou séries avec des détenus, ou en prison, vous avez d’ailleurs certainement vu prison break, bah là… Rien à voir. La série est très violente, d’ailleurs elle s’adresse à un publique averti et je rajouterais un publique très averti.

Mais bon, on est en tôle et non dans un salon de coiffure et ça, on le comprend bien vite.

Les acteurs sont incroyablement bons ! C’est frappant ! Rôles difficiles, mais interprétations parfaites. D’ailleurs, après avoir vu cette série, on se rend compte qu’on avait vu tous ces acteurs dans des séries plus récentes. Qui se priverait de ces talents ?

La saison 1 est puissante, violente et on est de suite dans le bain, mais la 2 fait monter la pression et accentue la cruauté et la haine, que donnera la saison 3 ?

On retrouve toutes sortent de clans (souvent ethniques) dans cette série, seul moyen de survie :
– Les Ariens
– Les Afro-américain
– Les Musulmans
– Les Latinos
– Les Italiens
– Les gays / travestis
– Les motards (saison 2)
– Les autres…
– (Je rajouterais même les matons)

Ce n’est pas tellement la cruauté ou la descente aux enfers des prisonniers qui séduit dans cette série, mais plutôt, le moyen que chacun emploi pour tacher de survivre et de s’en sortir, ou même de passer le temps…

Les épisodes sont présentés sous forme de thèmes qui à la fin font place à une petite morale, je trouve l’idée excellente et la présentation originale.

Donc pour ma part, une série grandiose, qui je le souligne, est destinée à un publique averti. Elle nous sort de toutes les autres séries habituelles, où très souvent les héros sont des gentils bisounours. La non !

Oz Saison 3

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Prenant !

C’est le premier terme qui me vient à l’esprit, on regrette presque qu’il n’y ai que 8 épisodes pour cette saison. Tout comme les 2 saisons précédentes cette dernière nous mène au milieu de la vie carcérale de ce pénitencier à part. Les groupuscules se font et se défont, l’intrigue et l’histoire sont enivrants et on arrive même à avoir de la compassion (ou du mépris) pour certains personnages.

Les acteurs sont fabuleux, d’ailleurs on les retrouvent quasiment tous dans des séries récentes, signe que Oz leur a apporté notoriété et célébrité (et surement fortune).

Dans cette saison les clans vont avoir une place prédominante, faisant la part belle aux alliances et trahisons. Un aspect stratégique est mis en place et pour survivre, il faut être le plus malin, et cela certains l’ont bien compris au détriment des plus naïfs.

Pour vous faire une idée de l’ambiance, voici un lien vers un extrait du premier épisode (ATTENTION : léger spoiler et extrait assez violent, âme sensible s’abstenir): ici

Oz saison 4

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La saison 4, c’est la plus longue, pas moins de 16 épisodes, près de 16 heures de cinématique. Autant dire que les scénaristes doivent assurer pour nous tenir en haleine aussi longtemps, et bien c’est réussi !

En effet, pour moi cette saison est la meilleures depuis le début, c’est cette saison qui confirme la qualité « exceptionnelle » des acteurs, les premiers épisodes sont tout simplement époustouflants, tant sur l’histoire bien ficelée que sur le jeu d’acteur qui est incroyable.

Petit extrait de l’épisode 1 de la 4ème saison : ici

La saison commence très fort avec les 5 premiers épisodes poignants, quelques épisodes semblent un peu longs, mais c’est pour nous préparer à un pur moment.

Cette saison est, elle aussi, présentée sous forme de thème et de morale, c’est ce qui fait la force de la série.

Il fait pas bon vivre (ou mourir) à Oz, et ça, les détenus en sont conscients, comment survivre, régner ou même mourir dans ce pénitencier ? On ne trouve pas vraiment de réponse à cette question, mais une chose est sûr : la mort est souvent la seule issue…

Oz saison 5

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Donc le contexte et l’ambiance reste la même, nous sommes toujours dans le pénitencier d’Emerald city avec tous les survivants de la saison précédente.

Le premier épisode de la saison est très puissant et prenant, les scénaristes ont fait fort et nous en mettent pleins les yeux.

Cependant les épisodes qui suivent, perdent un peu en intensité, surtout que la 4ème saisons nous baladait à 200 à l’heure ! Le rythme régresse donc avec seulement la moitié d’épisode, 8 contre 16 pour la saison 4. De plus une partie des premiers épisodes s’orientent beaucoup trop dans le spirituel, fleurant presque avec le fantastique, ce qui discrédite la série. Heureusement on revient assez vite à l’ambiance des débuts par la suite.

Donc, dans l’ensemble la série reste un fort succès avec des acteurs irréprochables. Après la saison 4, il est difficile de faire mieux, mais cela reste un bon moment quand même.

Critique – Oz l’ultime Saison 6

Oz6

La série se termine, et la première impression c’est qu’elle est bien meilleure que la saison 5, même si HBO pouvait largement nous procurer une saison 7. En effet, il reste tellement d’histoires et tellement d’éléments sur certains personnages que l’on reste un peu sur notre faim.

Le truc bizarre, c’est le dernier épisode qui dur 2 fois plus longtemps que les autres, soit près d’une heure et demi, je dois avouer que là je n’ai pas trop compris… Deux épisodes de 45 minutes comme d’habitude auraient très bien fait l’affaire, mais bon…

L’ambiance est toujours identique, l’univers toujours oppressant et angoissant, nous plongeant dans une série inhabituelle, c’est ce qui en a fait son charme.

Cette saison est donc la dernière, et tout ce que j’ai dis sur les saisons précédentes accrochent aussi à celle-ci.

Conclusion

Une superbe série qui peut donner pas mal d’idées de scénarios pour nos parties de JDR :)