Archive for août, 2010

Critique – Magazine JDR – Jeu de Rôle Magazine N°11

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Me revoilà avec un autre article tiré du site ChaOdisiaque, la critique de JDR Magazine Numéro 11 !

Bon, je sais, ça fait presque 3 mois qu’il est sorti et j’en fait un retour que maintenant. Mais sachez que c’est le JDR Mag de Juin/Juillet/Aout/Septembre 2010, donc ça compte encore smile de toute façon je ne me le suis procuré que cette semaine, alors voilà…

C’est vrai que la sortie du tout nouveau Casus Belli à un peu mis de coté les retours sur jeu de rôle magazine, mais je vais rattraper cette erreur avec un retour sur une première lecture de ce numéro 11.

Que nous promet ce numéro ?

Et bien c’est surtout un kit de démarrage pour le JDR « Les ombres d’Esteren », donc on va retrouver quelques news et critiques, mais surtout une présentation d’un jeu de rôle qui devrais sortir très prochainement « les Ombres d’Esteren ».

J’avoue que je suis très intrigué et curieux d’en savoir plus sur ce jeu, que j’avais découvert aux détours de pages web et sur ChaOdisiaque notamment.

C’est quand même un numéro un peu spécial et différent de ce que l’on a l’habitude de lire sur JDR Mag.

Je vais quand même commencer par les mauvaises critiques, pour finir sur une note plus douce et agréable, car ce numéro le vaut bien.

Je trouve qu’il y a quand même beaucoup de publicités, certes orientées ludique, donc pour nous, je comprend aussi le besoin de rentabilité, mais il y en a un chouilla trop au nombre de pages du magazine, mais ça ne gêne pas plus que cela, rassurez-vous.

Ensuite, et ça n’engage que moi, je ne suis pas fan de la nouvelle présentation, du moins du nouveau logo et des petites pancartes en bois de la couverture. Ce n’est pas moche, mais je trouve le tout un peu mal adapté ou trop vieillot. De plus, (j’y reviendrais) le jdr « Les Ombres d’Esteren » possède une multitude d’illustrations de grandes qualités, je trouve que celle utilisée pour la couverture, n’est pas adaptée et pas attrayante dans le contexte pour l’acheteur que je suis.

Voilà pour les critiques pas gentilles moches. Maintenant passons à la suite.

Le magazine est bien remplit, j’ai dit plus haut qu’il y avait beaucoup de pub, mais on compense le tout avec du contenu, et je dois avouer que l’on est servi. C’est bien écrit et agréable à lire et utile. Les critiques sont de très bonnes factures et avec les + et -, comme j’aime bien big_smile.

On retrouve un bon scénar pour Victoriana, mais je ne sais pas si je jouerais à ce jeu, donc j’utilise mon joker pour la critique de ce passage du magazine.

La présentation globale est bonne et tranche avec ce que j’ai pu dire sur la couverture.

Ensuite vient le kit de démarrage des Ombres d’Esteren et un scénario.

Alors, je suis très attiré par ce jeu, notamment, par le travail fourni, de plus il possède de superbes illustrations et ça, ça joue beaucoup. L’univers sombre, quoiqu’encore un peu flou est plutôt réussi.

Au départ, j’ai vraiment cru que j’allais lire un univers très proche de SierrElben, mais au final ça n’a rien à voir et c’est différent, même si le sujet de surface peu paraitre très proche.

Ne vous attendez pas à trouver un jdr complet ou un ensemble de règles qui vous permettrait de jouer au jeu. C’est une découverte et une mise en bouche, avec un scénar et une partie jouable dans les grandes lignes.

Cependant, c’est très bien écrit et je salue le travail réalisé, je partais curieux et je finis ma lecture content. L’univers n’est pas très complexe, mais pesant, on joue surtout sur le mystère et l’inconnu.

Le système de règles a l’air assez simple à prendre en mains, ça se joue avec des D10 et on additionne des caractéristiques pour dépasser un seuil, donc très simple dans l’idée, mais efficace. Après pour la création de perso, on joue avec des domaines et des spécialisations, ça fait beaucoup penser à des jeux vidéos, mais ça a l’air réussit.

Ensuite on retrouve des personnages pré-tirés pour jouer un scénario, et là, c’est ce que j’ai préféré, j’aime les scénarios écrit comme cela, c’est très bien expliqué, de bonne qualité et avec des petites icônes et encarts super pratiques, non mais vraiment +10 pour le scénar. même si ce dernier reste un peu complexe à masteriser, il est détaillé comme j’aime, bravo les auteurs. On tombe dans une intrigue qui peut paraitre linéaire, mais au final, c’est une bonne mise en bouche et de bonnes frayeurs.

Je reviens de nouveau sur les illustrations, mais « Les Ombres d’Esteren » possède des illustrateurs de qualité, je tenais à le souligner.

Donc, voilà pour ce numéro qui reste une découverte d’un JDR surtout, et qui promet une lecture agréable.

Un bon numéro en somme.

Note : 16/20
Conclusion : Un bon numéro et une découverte surprenante d’un futur bon jdr…

Source

Quelques images des Ombres d’Esteren

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Critique – ChaOs dans le Vieux Monde, le jeu de plateau

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Voici la venue d’une nouvelle critique, cette fois ci, celle d’un jeu de plateau : « Chaos dans le Vieux Monde« . Un jeu sortie tout droit des tréfonds de l’antre Chaotique de Edge.

Chaos dans le Vieux Monde est donc un jeu de plateau, dans l’univers tant apprécié (au moins par moi, c’est sûr) de Warhammer. Mais cette fois vous n’allez pas jouer des Nains, l’Empire, des Elfes, des Skavens ou autres soldats ou armées de cet univers, vous allez contrôler un des 4 dieux majeurs du Chaos ! Oui oui ! Ce jeu de plateau met à l’honneur le chaos et ses vices, mais surtout sa volonté de conquérir le Vieux Monde.

Vous allez donc jouer soit le puissant Khorne, soit l’infâme Nurgle, soit de machiavélique Tzeentch ou bien le vicieux Slaanesh. C’est un jeu de 3 à 4 joueurs, donc assez limité de ce côté là, mais ce n’est pas encore trop gênant. Chacune des 4 divinités à ses capacités et ses pouvoirs qui lui sont propres. Donc une manière différente de jouer avec chacun des 4 personnages.

La boite de jeu est composée :
– D’un superbe plateau de jeu (équipé de cadrans de menace)
– 4 fiches de puissance (les caractéristiques de chacun des dieux)
– 196 jetons (cartonnés)
– 149 cartes
– 5 dés
– 45 séides

Alors vu comme ça, on a l’impression que la boite est bien remplie, mais au final, ça fait un peu maigre par rapport à l’épaisseur de l’emballage. Oui, on est un peu déçu du peu de contenu par rapport au prix, mais ça s’envole vite quand on voit la qualité de chaque élément, surtout du plateau de jeu. J’aurais bien aimé que les dés soient un minimum personnalisé à l’image du jeu, un brin chaotique, là c’est 5 dés à six faces classiques, un peu déçu sur ce point aussi.

Bref, passons aux règles et au jeu en lui même. Je préviens tout de suite, ce jeu s’adresse à des personnes aimant les jeux de stratégie et les règles un brin complexe, en somme ce n’est pas un monopolie ni un jeu de l’oie. Vous allez donc conquérir le Vieux Monde à votre manière, plusieurs façon de gagner et surtout la possibilité de perdre, oui mais de tous perdre. En effet, les habitants du Vieux Monde peuvent arriver à leur fin et repousser toutes les tentatives des Dieux Maléfique. C’est à dire, une possibilité, c’est que tous les joueurs peuvent perdre, un bon point de plus pour ce jeu qui se veut fidèle à l’univers de Warhammer et très réaliste dans ce contexte.

Vous allez tenter de vous emparer des régions les plus importantes du Vieux Monde, par la force, la corruption ou la ruse. Vous possédez des séides qui sont à vos ordres et des cartes particulières. Le jeu se décompose en plusieurs phases telles que : pioche, invocation, bataille, corruption et d’une phase de fin de tour.

Le jeu en lui même est très stratégique et prenant, on est vite dans la peau (pour ceux qui en ont encore) d’un terrifiant Dieux du Chaos. Et invoquer le champion d’une des divinités sur le plateau de jeu est un réel plaisir et très excitant (je l’avoue) ! Parfois des héros tenteront de déjouer les plans sombres du chaos, mais votre pire ennemi n’est pas les peuples du Vieux Monde, mais bien les 3 autres viles divinités qui tenteront de vous asservir et de contrer vos espoirs de domination !

Ma note : 17/20
Un jeu passionnant, recherché et très fidèle à l’univers Warhammer. Seul petit bémol, le prix : 54,95 €, un peu cher, mais quand on aime… Je le conseil, et si un jour vous êtes dans la région, passez faire une partie 😉

P.S. : Edge est vraiment passé maitre dans la confection de jeu de ce type, la qualité des produits et la communication.

Le site du jeu

Quelques photos :

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Les éditos ChaOdisiaque – A découvrir…

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Nouvel Edito sur ChaOdisiaque.

Pour ce nouvel édito, des critiques, des aides et du nouveau, du moins, du nouveau avec de l’ancien. Et oui, Casus Belli a refait surface ce mois-ci et cela a fait beaucoup de bruit dans le monde rôliste ! ChaOdisiaque se devait de faire une petite critique :)

Pour cet édito :
Donjons Louforcs
Des nouveautés pour Warhammer Battle dernière version
Des conseils pour MJ
Des aides pour MJ
Le JDR Labyrinth
Et la critique de Casus Belli…

Archives éditos de ChaOdisiaque

Livre – Critique – Robin Hobb – Le Soldat Chamane 1

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Kelem du site ChaOdisiaque nous fait part une nouvelle fois d’une excellente critique littéraire, de retour avec un livre de Robin Hobb : Le Soldat Chamane 1 « La Déchirure ». Je vous met sa critique sans plus attendre.

Kelem a dit :

Jamère vit dans une culture gouvernée par un code social rigide. Mais, à l’âge de quinze ans, il est confié par son père à un étrange guerrier nomade qui, à l’aide de drogues et d’une expérience de transe chamanique, le propulse dans un autre monde. Il y rencontre une mystérieuse magicienne, sorte de femme arbre, qui s’empare de son esprit et le dresse contre la civilisation dont il est issu. Dès lors, Jamère est déchiré entre ces deux cultures…

Bien évidemment, vous connaissez tous Robin Hobb, puisque, en suivant les conseils avisés de Chaodisiaque (et, finalement, de toute la critique fantasy, unanime), vous vous êtes délectés au fil des milliers de pages de L’Assassin Royal. Il n’est donc pas nécessaire de présenter l’un des très grands auteurs de fantasy actuels. Il était donc plus que temps de partir à la découverte du Soldat Chamane, sa dernière grande saga en date, qui se compose de huit volumes (tous traduits et sortis en français, la parution en poche est en cours).

Avec Le Soldat Chamane, Robin Hobb prend le parti de créer de toutes pièces un tout nouvel univers, rompant ainsi avec les Rivages Maudits, le monde qui accueillait ses deux immenses saga précédentes, L’Assassin Royal donc, mais aussi Les Aventuriers de la mer. Mais elle renoue aussi avec ses premières amours d’écriture, puisque cette nouvelle histoire est narrée à la première personne, dans ce style qui lui avait si bien réussi dans sa première saga. C’est donc avec le héros, Jamère Burvelle, que nous entrons dans le monde de Gernie, un royaume en plein essor, puisque le Roi, avec l’aide de son armée, est parvenu à vaincre et à soumettre la population nomade, pour pouvoir étendre son royaume dans les plaines de l’est, où débute le récit. Jamère est le fils d’un nouvel aristocrate, ancien haut gradé de l’armée, récompensé par le roi par l’attribution des nouvelles terres. Ce premier volume est centré sur les années d’apprentissage de Jamère, puisqu’en tant que deuxième né de la famille, il est destiné à la carrière militaire, selon les écritures du « dieu de bonté » (qui destine chaque premier né à reprendre les terres de son père, chaque troisième né à embrasser la carrière de la prêtrise, etc.).

Voici un exemple de l’extraordinaire capacité de Robin Hobb à façonner un univers merveilleusement crédible, si l’on me pardonne l’oxymore. Sans avoir besoin de développer les descriptions sur des centaines de pages, le Royaume de Gernie, par toute une série de petites touches disséminées ici ou là, prend forme, se construit, cohérent, et l’on y croit, bien sûr. D’autant que si le récit est écrit à la première personne, il prend aussi la forme, tout comme l’Assassin Royal mais cela y était moins marqué, d’une sorte d’autobiographie fictive du point de vue de Jamère qui, on le suppose, écrit ses mémoires. La précision descriptive se double alors de l’incertitude toujours un peu floue du processus mémoriel auquel se livre le personnage. Quel plaisir de lire un roman de fantasy pourvu d’une narration un tant soit peu originale… !

Ce premier volume français débute ainsi, pendant toute sa première moitié, par une découverte de Gernie par les détails et les premiers pas de Jamère dans la vie militaire ont un attrait qui captive immédiatement le lecteur, jusqu’à son départ avec Dewara, le rugueux chamane qui va initier, durement, Jamère le soldat. Cette nouvelle dimension du récit permet à Robin Hobb de réutiliser des situations où elle excelle : l’attrait magique de la nature, le bouleversement personnel et intime, et bien sûr les souffrances du héros : dès ce premier tome, on peut aisément repenser à ce qu’a enduré Fitz, même si bien sûr Jamère n’en est pas encore là.

Dans la deuxième partie du roman, Jamère quitte sa terre natale pour la grande capitale, où il va intégrer l’Ecole de Cavalla (nom local de la cavalerie, vous l’aurez deviné). C’est l’occasion pour Robin Hobb d’à nouveau construire patiemment son nouvel univers. Un peu trop patiemment d’ailleurs puisque ces longs chapitres dédiés à l’école semblent perdre quelque peu le fil de l’histoire. Cela dit, l’ambiance de l’école est tout à fait digne d’intérêt, l’auteur parvenant aisément à nous faire sentir l’ambiance de camaraderie couplée à celle d’une charge démentielle de travail qui ne sera pas sans rappeler celle de certaines des classes prépas bien de chez nous.

Le défaut de ces pages est de délayer l’intrigue. Mais cela est à coup sûr à mettre au compte – encore une fois – du découpage opéré par l’éditeur français. L’apprentissage de Jamère et son initiation au chamanisme font clairement figure d’immense prologue à la saga, alors que la véritable première partie est son arrivée à l’école. Le volume français s’interrompt en plein milieu de cet arc narratif, et cela se ressent clairement comme un défaut de construction, non imputable, bien sûr, à Robin Hobb elle-même.

On attend, néanmoins, avec impatience le deuxième volume, car les fils découverts lors du premier sont, comme prévu et espéré, dignes du plus haut intérêt.

Le Soldat Chamane 1, La Déchirure, est disponible en français chez Pygmalion, et chez J’ai Lu.

Note : 14/20
Une première moitié de roman magnifique, qui embarque d’emblée le lecteur. La très intéressante Ecole de Cavalla perd un peu de vue l’intrigue, mais il s’agit manifestement d’un effet pervers d’un mauvais découpage français.

Source

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Critique – JCE – Warhammer Invasion

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J’étais parti pour me procurer le jeu « ChaOs sur le Vieux monde« , malheureusement, rupture de stock à la boutique, je me suis rabattu sur un deuxième choix que je comptait me procurer : Warhammer Invasion, le Jeu de Cartes Évolutif (JCE).

Déjà, quelle est la différence entre le jeu de cartes à collectionner (JCC) et le jeu de cartes évolutif ? En fait, avec le JCE, plus besoin d’acheter 300 boosters pour obtenir la carte rare de chez rare, vous achetez un paquet et c’est tout, tout le monde peut tout avoir comme carte (moyennant finance, bien sûr). La notion de collection existe toujours, bien moins présente que le JCC quand même. On améliore son jeu en achetant des extensions et en créant au fil du temps des decks de plus en plus performants. Finalement, je trouve ce système moins contraignant et malgré qu’il faut (toujours) débourser, cela reste moins cher au final. Cependant, l’effet de surprise n’existe plus, on sait ce que l’on achète. Edge surf sur tous les filons, et franchement question jeux et communication ils assurent un max.

Composition :

– Un livret de règles
– 220 cartes
– 4 plateaux de capitale
– 35 pions ressource
– 60 pions dégâts
– 4 pions flammes

Perso, je n’arrive pas à comprendre pourquoi les boites de base des JCE de Edge sont si grosse, par rapport au contenu. Certainement pour accueillir les extensions par la suite. Graphiquement c’est beau, de toutes manières, je crois que du coté de Warhammer les équipes d’illustrations font partis des meilleurs du genre. C’est beau et l’ambiance de l’univers est franchement prenante.

Maintenant parlons des règles et du jeu en lui même. Warhammer Invasion est un jeu de batailles et de stratégie se déroulant dans l’univers de Warhammer (forcément^^), s’inspirant beaucoup du jeu de figurines. Question technique et stratégie on peut se dire qu’on va vite faire le tour entre 50 et 100 cartes pour chacun des 2 adversaires avec donc 220 cartes dans la boite, mais c’est sans compter sur des règles bien conçues et un aspect tactique très évolué.

En effet, ceux qui ont connu SpellFire, retrouveront quelques sensations et je m’aventurerais à dire « les mêmes sensations, mais en mieux ». Oui, comme je vous l’ai dit, l’aspect tactique est poussé, les concepteurs ont vraiment chercher les meilleures solutions pour nous immerger et faire fonctionner nos méninges. On fait de nous de vrai seigneurs de guerre !

Pour commencer, il y a 4 peuples disponibles et deux factions, l’ordre et le chaos. Vous pourrez jouer les Nains, l’Empire, les Orques et/ou le Chaos. Les cartes de l’ordre sont jouables entre elles et idem pour le chaos. Cependant, jouer en majorité un peuple vous garantie de meilleurs effets combinés. Chacun des peuples à sa tactique de prédilection et sa manière d’être joué, encore un point fort du jeu. Vous pourrez jouer d’autres peuples avec les extensions, et il y a quelques cartes Elfes et Elfes Noirs dans la boite de base.

Des plateaux « capitale », permettent de représenter notre camps, qui est composé de 3 zones, des zones avec des particularités : la zone de quête, le royaume et le champs de bataille. Il va falloir gérer chacune des zones au mieux et éviter de se les faire détruire par l’ennemi.

Un système de loyauté existe aussi pour jouer ses cartes, je trouve l’idée très bonne et elle permet d’augmenter la nécessité de jouer un peuple en priorité.

Le jeu est donc un très bon produit, très suivi, avec des évolutions régulières. De plus, Edge et certaines boutiques proposent des tournois, ce qui rend l’intérêt communautaire plus intense.

Tarif pour la boite de base : 39,95 €
Déjà de nombreuses extensions avec des prix raisonnables.

Note : 17/20
Conclusion : les fans de warhammer et des jeux de cartes trouveront leur compte. De bons moments stratégiques et des batailles qui vous garantissent un moment ludique à souhait.

Site du jeu

Images :

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Critique – Magazine – Casus Belli

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Bon, j’me le suis procuré comme tous bons fans de JDR et ancien lecteur de Casus Belli Old School. Le nouveau Casus Belli est parmi nous et est pour le coups, très rafraichissant.

En effet, la couverture est belle (elle est d’autant plus jolie pour le mâle que je suis^^), simple et efficace. Non, franchement, c’est propre et la charte graphique est très agréable.

Après cela, on ouvre les pages, hummmmm… C’est bon… (non, je ne suis pas un psychopathe). Pour en rester dans la présentation et l’aspect graphique, c’est du beau, du propre. Facile et agréable à lire, des présentations de catégories (tels que News, Scénarios etc…) sont réalisées avec de belles illustrations soignées. Je dis chapeau pour la réalisation et les illustrations, c’est du tout bon ! Et c’est un point que j’apprécie, donc 19/20 pour cet aspect là.

Après les news, c’est court, mais c’est juste ce qu’il faut. En effet, je pense qu’il ne faut pas plus, car le web nous donne assez de news jdr et trop en mettre dans le magazine risque de lui faire perdre de la valeur. Donc juste ce qu’il faut et les plus intéressantes.

Les critiques sont bonnes à lire et constructives, d’ailleurs « Rogue Trader » me tente bien^^
Petite amélioration qui serait bien, faire un petit encart avec les + les – et pourquoi pas une note. Ça se fait souvent et c’est un truc que j’aime bien :)

Les scénarios, je dois vous avouer que je n’ai pas approfondi encore, car je ne masterise aucun de ces jeux (Loup Solitaire, L’appel de Cthulhu, Devâstra, D&D3.5). Mais en survolant, c’est agréable et bien présenté, ceux qui connaissent les anciennes versions de casus ne devraient pas être dépaysés.

De bonnes aides de jeux et de bons articles.

Note Globale : 18/20
Conclusion : c’est bon de retrouver ce magazine, et mensuellement en plus !

Quelques photos :

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Site de Casus Belli

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