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Livre – Critique – Tueur de Skavens

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Voici la critique sur le deuxième bouquin relatant les mésaventures des deux héros Gotrek et Felix de William King. Deux personnages de l’univers de Warhammer. Ce deuxième livre, c’est : « Tueur de Skavens« , bien entendu la trame de l’histoire se base toujours autour de ces personnages et de leur quête en commun, à savoir mourir en héros pour l’un (Gotrek) et relater l’histoire de ce dernier pour l’autre (forcément Felix).

Petit point important pour ce livre, il est beaucoup mieux traduit que le premier et est édité avec beaucoup moins de fautes que « Tueur de Trolls« , ce qui permet une lecture beaucoup plus agréable et moins rebutante.

Il est préférable d’avoir lut « Tueur de Trolls » avant celui-ci, mais pas nécessaire. En effet, le premier roman était découpé en plusieurs aventures ayant chacune une chute, ce deuxième livre est un peu réalisé de la même façon, mais chaque nouvelles est une pièce du puzzle du livre complet, qui est une campagne à Nuln. Lire le tome précédent voit permet seulement de mieux connaitre Gotrek et Felix.

Et oui, pour tous les fans de Warhammer et les MJs de ce jeu, lire ce livre peut donner une bonne source d’inspiration pour une excellente campagne à Nuln, grande cité de l’Empire.

Comme je le souligne, ce roman est essentiellement axé sur la cité de Nuln, un lieu important de l’Empire. Nous sommes plongé dans l’univers des Skavens et de leur manigance, c’est très bien écrit et nous assistons aux plans sournois et parfois loufoques de ces créatures hors du commun dans cet univers. L’invasion de Nuln par les Skavens ne saurait tarder et nous lisons toute la mécanique de mise en place du piège qui risque de se refermer sur les Humains de Nuln. Avec ce livre on fait un large tour de toutes les facettes des Skavens (les fans seront ravis). C’est parfois très drôle et ce retrouver parmi les hommes-rats et leur machinations est vraiment un moment atypique. Stratège, sournoiserie, cruauté et malepierre sont au rendez-vous. On comprend beaucoup mieux la vie dans les tunnels et les galeries avec ce livre.

Chaque clan Skaven est passé en revu et tente à sa manière de se faire remarquer par le Grand Cornu (Divinité Skaven). Gotrek et Felix ont fort à faire pour endiguer une invasion de ces êtres mutants.

Mon avis personnel, c’est que j’ai préféré ce volume au précédant, beaucoup mieux écrit, prenant, amusant et avec de l’action et des combats où les têtes volent :)

On sent parfaitement que les deux héros ont pris de l’expérience et au cours de ce roman, il continue à affûter leur expérience, du combat, mais aussi stratégique. On voit Felix évoluer et changer de manière de penser et d’agir.

Un bon moment de détente à lire ce livre, je recommande aux fans.

Livre – Tueur de Skavens
Note : 15/20
Une bonne grosse aventure à Nuln

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Littérature – La Compagnie Noire de Glen Cook

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Voici une nouvelle critique littéraire, cette fois laissée sur le site ChaOdisiaque par un tout nouveau membre blackwabbit. Critique excellente et qui nous donne envie de plonger dans l’univers écrit par Glen Cook « La Compagnie Noire ».

Les Annales de la Compagnie Noire, c’est l’épopée d’une bande de bras cassés bourrés de défauts mais le cul bordé de nouilles. Quoique avariées, bien souvent.
Cette histoire, c’est la nôtre ; remplir les quelques lignes qui nous sont cédées temps qu’on le peut encore, voir en gratter quelques-unes de plus, sans se faire prendre, au risque d’attirer l’attention de merdaillons puissants et indésirables.

Ici, pas de Conan huilé et immortel, pas de mister Jones prêt à couper un pont de lianes 300m au dessus d’une fosse à crocodiles, et les rares magiciens dont on suit les méfaits sont des vieilles biques atrabilaires qui peuvent tout au plus mettre en scène de jolies illusions, voire plus communément semer la pagaille en courant la gueuse et la gnôle frelatée.

Toubib, l’annaliste, est en charge de la rédaction des hauts faits de la compagnie dans ses annales, tâche qu’il effectue avec une grâce subtile, lovée dans un cynisme désinvolte qui fait le plaisir du lecteur, et certainement due à son deuxième job dans la compagnie : toubib.
De fait, il en voit de toutes les couleurs. Les compagnies de mercenaires, quand ça charcle, ça fait pas dans la dentelle.

Pilonné par le capitaine, un homme bourru mais juste, et épaulé, au moins dans les mots, par Qu’un-Œil et Gobelin, deux mangemerdes vaguement magiciens, vaguement dangereux, et formellement instables, il a la lourde tâche de raconter les aléas de la vie trépidante de ses frères et lui-même, les derniers descendants de la dernière compagnie franche du Kathovar.

Dans chaque tome, une fois la scène posée, l’enchevêtrement d’intrigues ne cesse de s’auto-alimenter, extirpé par l’auteur de la bouche des protagonistes du récit, qui se livrent à tour de rôle, ajoutant chaque fois une pièce à un puzzle toujours un plus extravagant, plus noir, plus insondable.

La fureur des combats, la froideur et le désespoir des ruelles en temps de guerre, la domination de la peur, la fraternité exacerbées des mercenaires, l’ennui, la faim, la dysenterie, tant de choses généralement passées sous silence, qui prennent toute leur force dans La Compagnie Noire, non pas qu’elles soient réellement mises en valeurs, mais parce qu’elles existent tout simplement.

Le détail le plus frappant étant bien entendu la mort. La mort, planant sur chacune des 5000 pages de l’épopée, pouvant s’abattre à chaque instant.

Et la menace est bien réelle. Les tomes se succédant, il faut bien le dire, tout le monde y passe.

Maladie, inconscience, mauvaise fortune, les personnages les plus puissants comme les narrateurs nous filent entre les pattes au moment le moins opportun. La vie des personnages les plus flamboyants vacille comme une chandelle au vent, interdisant au lecteur de reprendre son souffle.

Pas de héros dans la compagnie. Seulement des hommes seuls, fuyant un passé louche ou une vie trop creuse, qui ont trouvé dans la compagnie une famille, vraie et franche, sans question.

Surtout sans question.

« Mercenaires nous sommes et nous resterons. Que nous importe si la cause de notre employeur est légitime ? On nous paye pour la servir. Nous sommes la dernière des compagnies franches de Khatovar. Nos traditions et nos souvenirs ne vivent que dans les présentes annales et nous sommes les seuls à porter notre deuil.C’est la Compagnie Noire contre le monde entier. Il en a toujours été, il en sera toujours ainsi. »

LA COMPAGNIE NOIRE POINT PAR POINT

Les Annales de la Compagnie Noire se découpent en 3 cycles.

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Les premiers tomes sont un précipité de mysticisme fantasy, d’enchevêtrements politiques, de transcription froide et brutale de la réalité des hommes de mains que l’on ne voit d’habitude qu’en arrière plan, et de l’insistance de l’influence de la mort, amenant les protagonistes à réfléchir à deux fois avant de sauter dans le vide ou dégainer une lame.

De la grande Fantasy. De la vraie, pour adulte, où on meurt pour de vrai et où les ruelles sombres font peur même aux plus puissants. La Compagnie Noire est amenée à prendre conscience qu’un mal, un gros avec des piquants, s’apprête à se réveiller. Dans un monde où la magie existe à peine plus au grand jour que dans le nôtre, apprendre qu’un nécromant plusieurs fois centenaires se réveille à de quoi laisser perplexe. Se rendre compte que notre troupe de troufions est amenée à participer à son éradication encore plus.

Toubib et ses pairs seront lancés au triple galop dans un récit de fantasy haut de gamme, dont chaque page accroît la découverte d’un monde sinistre, tout vêtu de gris, débordant de crédibilité. Ce premier cycle parvient à faire appel à tous les points forts de l’heroic fantasy tout en en conservant la saveur, sans jamais tomber ni dans le cliché ni dans le contre cliché, faisant appel à une tripotée de techniques narratives et scénaristiques s’imbriquant parfaitement pour former une œuvre complète et savoureuse.

Les 4 premiers tomes donc, à conseiller à tous vos amis.

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Le deuxième cycle suit à peu près la même veine. Les personnages sont ballottés, corrompus, utilisés, jetés, récupérés, le tout rédigé par une main de maître qui continue de nous poser implicitement (et constamment) la question : le bien, le mal, où en est-on?

Ce cycle suit les pérégrinations de nos anti-héros préférés, dont l’auteur comme le lecteur a du mal à oublier les aventures ; tous deux découvrent le passé des protagonistes (restants) en découvrant d’autres mystères, d’autres complots, presque un autre monde.

Ce deuxième cycle, et on le regrettera, perd de la délicatesse aigre-douce du premier, qui mêlait avec classe la vie futile des héros avec un destin malchanceux hors du commun. Dans ce cycle, les MEMES héros affrontent DE NOUVEAU le pire mal de la terre, AGAIN. La faute à pas de chance.

Ca devient un peu gros. On en fait cela dit vite abstraction tant le savoir-faire de l’auteur pour nous faire saliver est grand, et tant son talent à éviter le manichéisme de bas étage reste intact.

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Le troisième cycle perd encore un peu de cette grâce, l’auteur ayant manifestement du mal à se débarrasser de son histoire et des personnages encombrants, et à trouver comment tirer un trait définitif sur sa saga. Un peu plus long, un peu moins brillant, le troisième cycle plonge dans le récit à suite, avec toutes les pertes de finesse que ça implique. Il n’en reste pas moins une fantastique tentative (et tout de même très réussie) de prolonger l’existence d’un monde cruellement vivant, alarmant de cynisme.

Glen Cook décide de nous expliquer son monde, de le décortiquer, au fil des 2000 et quelques pages que forment le dernier cycle.

Si la Compagnie Noire était de l’héroïne, le dernier cycle serait la dose du matin, celle pour laquelle on vendrait père et mère.
Par addiction, mais plus vraiment par plaisir.

On regrettera d’ailleurs qu’il ait accordé si peu d’importance à certains personnages hauts en couleurs un peu tombés en disgrâce sur le tard, qui auraient mérités au moins autant d’attention que Qu’un-Oeil, Gobelin, Toubib et Madame.

On peut toujours noter que c’est justement la mort brutale ou la disparition soudaine de certains piliers de l’histoire qui forge ce sentiment de mort bien réelle qui love le récit tout au long de la série. Ne vous attachez pas trop à vos personnages préférés; conseil d’ami.

Les derniers tomes, donc, perdent un peu de cette magie, mais l’auteur, conscient de son désir un peu trop prononcé de ne pas faire « mourir » son récit, rattrape sa conclusion avec un brio fabuleux. Le dernier tome est une fin comme on aimerait en voir plus souvent, en parfaite adéquation avec tout ce qui nous fait aimer la Compagnie Noire dès les premières lignes du premier tome, qui fait bouillir le sang et se remémorer les derniers mois. Une réussite, donc.

Toubib nous racontera tout le premier cycle. Une histoire passionnante pimentée de complots politiques aux travers desquels sont ballottés les protagonistes, et relevée par le danger de la mort, instaurée comme belle et bien présente dans le récit dès les premières pages de l’odyssée. Elle plane sur les personnages auxquels ont s’attache. Glen Cook va vous apprendre à la craindre, en tuant ses protagonistes les uns après les autres.

Après le premier cycle, d’autres frères de la compagnie de prennent la plume, le temps et la mort aidant.
A chaque changement de narrateur, le style change, les sombres descriptions de Toubib laissent leur place à des bourgeons d’espoir sous la plume de Murgen, deviennent ego-centrées sous celle de Madame, gorgées de crainte et de confiance en soit sous celle de Roupille. Le vocabulaire reste riche, peut être trop parfois quand le narrateur est censé être un bouseux revanchard vaguement plus tête brûlée que les autres, mais un véritable travail de style est sensible à chaque changement d’annaliste.

En conclusion, si vous ne devez imprimer que ça :

ACHETEZ LA COMPAGNIE NOIRE.

😀

Au moins les 4 premiers tomes. Aucun doute, vous serez conquis.

Et si vous avez du mal à vous détacher de ses héros, achetez les autres. A la relecture, je me trouve un peu dur. La saga toute entière reste d’un très haut niveau. Je tenais seulement à souligner une baisse de niveau substantielle des derniers tomes face aux premiers, absolument exceptionnels. Mais la quête du Kathovar reste, et de loin, de bien meilleure qualité que tant d’autres romans s’étant essayés au genre.

Les Annales de la Compagnie Noire, par Glen Cook.

13 tomes aux éditions de l’ ATALANTE et en poche.

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Lorsque j’ai rédigé cet article, je venais de finir la Compagnie Noire, après qu’elle m’ait accompagné partout pendant 4 mois, il ne m’a fallu qu’un battement de cil pour profiter de l’occasion de me débarrasser de ce sentiment aigre-doux qui avait élu domicile dans ma gorge depuis que je savais les histoires de Toubib, Corbeau, Gobelin, Qu’un-Œil et bien d’autres finies et re-finies.

Toutefois, depuis le temps, et grâce au succès retentissant que cette saga a connu, sire Cook aurait laissé sous-entendre une éventuelle suite à la Cie Noire (bien qu’on ait du mal à imaginer une suite).
Quand bien même, si, une fois les treize tomes dévorés, vous sentez le manque vous faire trembler les mains, sachez que Glen Cook a commencé une nouvelle saga, au moins aussi brillante, axée sur les forces géopolitiques de plusieurs empires s’évertuant à se chamailler alors qu’un mal ancestral remonte sournoisement des entrailles du passé.
Ça s’appelle La Tyrannie de la Nuit. Mangez-en. mais pas trop vite, il n’y a que deux tomes pour le moment.

Lire l’article original

ChaOdisiaque – Critiques littéraires – Fantasy et Science-Fiction

fantasy
Voici un petit bout de temps que le site ChaOdisiaque existe et les contributions ont toujours vu le jour. Il y a diverses catégories et rubriques sur le site. Voici un petit résumé de l’une d’entre elles, la rubrique Fantasy et Science-Fiction et plus particulièrement les critiques et retours de livres, il y en a environs 37 à l’heure ou j’écris ces lignes et les voici :

L’Assassin royal (de Robin Hobb) 18/20

» Critique : de Kelem

« L’Assassin royal » (par Kelem) » voir


Le cycle des Princes d’Ambre (de Roger Zelazny) 17/20

» Critique : de Kelem

« Le cycle des Princes d’Ambre » de Roger Zelazny (par Luhkah) » voir


Les Déportés du Cambrien, de Robert Silverberg

» Critique : de Frantic69

» voir


Les aventuriers de la mer (de Robin Hobb) 17/20

» Critique : de Kelem

Les Aventuriers de la Mer, de Robin Hobb. » voir


Le Secret de Ji 14/20

» Critique : de Kelem

De Pierre Grimbert (1996). Le cycle est disponible aux éditions Mnémos, J’ai Lu, et France Loisirs. » voir


La Malerune 10/20

» Critique : de Kelem

De Pierre Grimbert et Michel Robert. Disponible intégralement en trois volumes chez Mnémos, chez Points-Fantasy ou chez France Loisirs. » voir


Dehors les chiens, les infidèles 9/20

» Critique : de Kelem

De Maïa Mazaurette. Editions Mnémos Fantasy. Sorti en octobre 2008 » voir


Garrett, détective privé 12/20

» Critique : de Kelem

De Glen Cook. Le tome 1 est disponible chez J’ai Lu. Les 4 volumes sont disponibles chez l’Atalante » voir


A la croisée des mondes 15/20

» Critique : de Kelem

Retrouvez une des premières critiques parues sur le site, concernant le cycle bien connu de Philip Pullman, disponible chez Gallimard Jeunesse ou Folio. » voir


Le Trône de Fer 17/20

» Critique : de Kelem

De Georges R.R. Martin. Début de parution en 1996. Une des plus célèbres saga de fantasy, encore en cours d’écriture. » voir


Le Royaume de Tobin 6/20

» Critique : de Kelem

De Lynn Flewelling. Soumis à un horrible sortilège à sa naissance, destiné à protéger sa vie, le jeune prince Tobin devra découvrir sa propre vérité avant de reprendre possession du trône. » voir


Les Chroniques de Thomas Covenant : La Malédiction du Rogue 11/20

» Critique : de Kelem

Tome 1 du cycle de Stephen R. Donaldson, La Malédiction du Rogue est le premier volume d’une série de 10 qui est actuellement réédité en France, avec une nouvelle traduction. » voir


Les Chroniques de Thomas Covenant : La Retraite maudite 15/20

» Critique : de Kelem

Dans le deuxième volume de la série de Stephen R. Donaldson, Thomas Covenant retrouve le Fief, quarante après son premier passage dans le monde parallèle. » voir


L’Epée de Vérité : La Première leçon du sorcier 7/20

» Critique : de Kelem

Ce premier tome de la série à succès de Terry Goodkind, publiée aux éditions Bragelonne, suit les premières aventures du Sourcier de Vérité, Richard Cypher. » voir


Le Dernier Souffle 14/20

» Critique : de Kelem

Cette première trilogie de Fiona McInstosh suit les aventures étranges et rocambolesques du jeune Wil Thirsk dans sa lutte contre le tyran fou monté sur le trône de son pays natal. » voir


Eragon (de Christopher Paolini) 8/20

» Critique : de Kelem

Le troisième volume de la série à succès de Christopher Paolini va sortir dans les prochains jours. L’occasion de faire un retour sur le tome 1 des aventures du désormais célèbre héros. » voir


Le Dernier rayon du soleil (de Guy Gavriel Kay) 13/20

» Critique : de Kelem

Roman moins connu du célèbre Guy Gavriel Kay, Le Dernier Rayon du Soleil est une fresque nordique dans le dur monde des vikings. » voir


Les Royaumes Oubliés : Le Retour des Archimages 4/20

» Critique : de Kelem

Faisant partie de la longue série des romans adaptés de l’univers des Royaumes Oubliés, Le Retour des Archimages, de Troy Denning, décrit l’attaque des phaerrims sur Faërun. » voir


Santiago 15/20

» Critique : de Luhkah

Critique du Roman Santiago de Mike Resnick. Santiago est recherché dans toute la galaxie, sa tête mise à prix pour la modique somme de vingt millions. » voir


Neuromancien 18/20

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Ecrit par William Gibson, Neuromancien est un des ouvrages fondateurs du mouvement « cyberpunk » de la SF contemporaine. » voir


Cablé 18/20

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Voici la critique d’un autre grand du Cyberpunk : Cablé de Walter Jon Williams. » voir


Le souffle du cyclone 16/20

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Le souffle du cyclone, de Walter Jon Williams, est situé dans l’avenir de Cablé… Une critique de Luhkah sur ce roman. » voir


Le clan des Otori, I le silence du Rossignol par Lian Hearn 16/20

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Les ombres de Wielstadt (de Pierre Pevel) 16/20

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Critique d’un roman de fantasy uchronique, dont l’intrigue se déroule pendant l’hiver 1620 dans la région rhénane. Les ombres de Wielstadt de Pierre Pevel. » voir


Le Capitaine Alatriste (Arturo Perez Riverte) 14/20

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Critique et présentation du premier tome des aventures du Capitaine Alatriste de Arturo Perez Riverte. » voir


Le cycle de Ki et Vendien (Megan Lindholm) 17/20

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Les aventures de Ki et Vendien forment le premier cycle publié de Megan Lindholm, alias Robin Hobb. » voir


L’échiquier du mal de Simmons 16/20

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La critique : « L’échiquier du mal » de Dan Simmons est paru en 1992 en France. Il s’agit avant tout d’un thriller avec une touche de fantaisie se passant à la fin des années 80. » voir


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La Couette de l’Oubli (de John Lang) 10/20

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L’Agent des Ombres 1 : l’Ange du Chaos (de Michel Robert) 9/20

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L’Ange du Chaos est le premier volume de la série de Michel Robert, un des auteurs de fantasy francophone très actif en ce moment. Disponible chez Mnémos (GF) et Pocket. Critique de Kelem. » voir


La trilogie Valisar 1 : L’Exil (de Fiona McIntosh) 13/20

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Premier volume de la nouvelle trilogie de Fiona McIntosh après « Le Dernier Souffle », « L’Exil » décrit l’arrivée dans le royaume de Penraven d’un envahisseur impitoyable et déterminé. Critique. » voir


Eragon 3 : Brisingr (de Christopher Paolini) 8/20

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Troisième volet d’une saga qui en comportera finalement quatre, « Brisingr » déroule la suite des aventures d’Eragon et de sa dragonne Saphira. Paolini réussit-il à rectifier le tir des deux premiers volumes ? Critique. » voir


Le clan des Otoris : Les Neiges de l’exil et La clarté de la lune 14/20

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Le clan des Otori (suite), de Lian Hearn, retrace en trois livre la vie d’un jeune homme dans un Japon médiéval mythique… » voir


Le Lion de Macédoine, de David Gemmel 18/20

» Critique : de Docmorbide

La critique de la série de livre du Lion de macédoine, de David Gemmel. » voir


Le Messager (Raymond E. Feist) 12/20

» Critique : de Kelem

Les deux volumes « Légendes de la Fantasy » coordonnés par Robert Silverberg, présentent des nouvelles prenant place dans les univers de 12 grands noms de la Fantasy. Aujourd’hui, petit détour chez les Chroniques de Krondor. » voir


Bloodsilver de Wayne Barrow

» Critique : de Khazagin

Critique sur le bouquin de Wayne Barrow : Bloodsilver, par Khazagin. » voir

Voilà pour le tour des critiques à l’heure actuelle, de quoi vous donner des idées de lecture. Vous pouvez vous aussi donner des notes aux livres ou venir commenter les critiques.

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